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Pour ses dix-sept ans, l'anniversaire de Virginie commença, naturellement, avec sa fessée d’ anniversaire. Quand sa belle-mère remua son épaule pour l'éveiller , Virginie bâilla, puis frissonna en se souvenant de la date. Sa belle-mère en souriant méchamment, s'assit sur son lit. - Virginie es tu prête pour ta fessée d’anniversaire ? demanda-t-elle, en l’attirant sur ses genoux. - Oui mère, je le suis! Sophie de Hautefutaie leva haut sa main et annonça : - Une! Bon anniversaire, ma chérie. la main de la marâtre s’abaissa sur le derrière de Virginie. "Deux!" Une autre fessée débarqua sur sa chemise de nuit rose claire, et Virginie ne put dire que "Ouille !". Pan et pan "Trois et Quatre!" Les deux fessées plus sèches atteignirent leur cible avec violence. - Vive la fessée! Vive La fessée! Dit joyeusement Sophie. Maintenant remontons cette jolie chemise de nuit. Oh ! la mignonne petite culotte rose, cinq et six! Ah ! je sens que ça commence à picoter agréablement sous cette culotte, n’est-ce pas mon ange ? C’était vrai. Virginie reniflait alors que son derrière commençait maintenant à brûler. - Et en voilà encore une ! - Ouille ! - Et sept! Huit ! elle souleva la culotte et constata - Ma jolie, tes fesses sont aussi rose que ta petite culotte. neuf ! et dix ! Bon anniversaire mon doux trésor, déclara la belle-mère. - Ouille ! Grogna Virginie - Maintenant, Virginie, tu sais ce que tu as a faire! Tu dois t’habiller avant ta leçon, mais rassure toi, ma poupée, ta fessée n’est pas terminée. En disant cela, Sophie glissa l'ourlet de la chemise de nuit en haut de ses cuisses, caressa les tendres fesses en passant sa main dans la culotte . Puis la fessée reprit joyeuse, sur un derrière potelé et déjà bien chaud.. - Dix-sept bonnes fessées , mon cœur, une pour chaque année. A la fin de ce réchauffage, Virginie pleurnichait tranquillement. Sa fessée commençait seulement. Avec une douce caresse , Sophie glissa ses doigts dans la culotte rose de Virginie. - On montre ses fesses, ma chérie… un peu plus…. Un peu plus… encore un peu… voilà, c’est bien ! dit-elle en glissant le petit vêtement jusqu'aux genoux de Virginie . - Que c’est doux à caresser tout ça dit-elle, mais maintenant il est temps pour ton derrière de recevoir sa véritable fessée d’anniversaire . Souviens-toi que tu as mérité cette punition, comme toutes celles que je te donne pour mon plus grand plaisir depuis longtemps. Je pense que tu comprends cela maintenant. Mais voyons si dix-sept bonnes fessées sur ta jolie lune nue te feront souvenir dans le futur ce que je veux de ta petite personne? C'est ce que fit la belle-mère . Les dix-sept bonnes fessées furent généreusement octroyées.
Le derrière de Virginie tournait au rouge clair, comme la main de Sophie. Il était temps pour cette dernière de s’aider de son cher martinet. Il se trouvait sur la table du chevet de Virginie, attendant, là le bon plaisir de la fesseuse. Virginie jappa quand ce petit martinet désagréable rencontra son derrière nu. Après quelques coups, le martinet vola à travers la pièce alors que Virginie continuait à pleurnicher . Puis Sophie prit la brosse à cheveux , trois bonnes claques sonore s’abattirent sur chacune des fesses de sa victime . Sophie la laissa protester une minute, puis ramassant les oreillers, elle les installas sur le bord du lit , y courba Virginie, son délicieux popotin bien en l’air, remonta la chemise de nuit qui était tombée et réajusta la petite culotte bien au milieu des cuisses la charmante. - Tu es ravissante dans cette position ma chérie , ton derrière bien exposé à ma convoitise et pour la dernière partie de cette bonne fessée d’anniversaire aux brûlures de mon joli martinet. Où est-il celui là. Il m’échappe toujours quand j’en ai besoin. Où ais-je pus le mettre. As-tu une idée mon cœur ? - Vous l’avez fait tomber par terre à coté du lit répondit Virginie, croyant s’attirer l’indulgence de sa marâtre. - Merci ma chérie, le voilà , répondit cette dernière ramassant l’instrument, avec lequel elle caressa l’arrière train de sa victime. Tu sens comme il est doux quand il se promène négligemment sur tes fesse ? mais maintenant, il est temps de finir en beauté ! Es-tu prête ? Je crois que oui. Et clic et clac et pan et pan ! qu’il vole bien mon petit joujou, qu’il zèbre bien tes fesses, j’en adore la musique, écoute ce petit bruit de vent quand il siffle dans l’air et ce joli bruit sec quand il s’abat en pluie sur ton gros joufflu. Que j’aime le voir danser, se tortiller, ne t’en prive pas c’est délicieux à contempler. Pan ! pan ! pan ! Et voilà mon ange c’est fini ! Je veux dire, c’est fini pour ta première fessée d’anniversaire, mais mon petit doigt me dit que la journée sera longue… Après un petit câlin sur les genoux de Sophie, Virginie dû s’habiller d’une robe bleue sombre et chemisier blanc. Elle s’assit sur le lit pendant que sa belle-mère lui enfilait ses chaussures et ses bas. Enfin Virginie descendit à la cuisine y prendre son petit déjeuner. - Virginie, lui dit sa bonne. Je vois que vous avez terminé , descendez à la bibliothèque, votre professeur vous y attend. Je sais que votre belle-mère vous prépare une surprise cet après-midi, pour votre anniversaire, je suis au courant, et je crois que vous ne serez pas déçu, ajouta-elle avec un petit rire menaçant qui ne dit rien de bon à la jeune fille. Quand Virginie arriva dans la bibliothèque où l’attendait Mlle Pinsec, celle-ci l’embrassa hypocritement en lui souhaitant un bon anniversaire. Elle tressaillit quand son professeur lui annonça une autre fessée pour ses dix-sept ans .
Quelques minutes plus tard Virginie était fesses nues sur les genoux de son professeur. - Bravo Virginie! Vous avez déjà les fesses d’une couleur appétissante, je vois que votre Belle-mère a fait un travail vraiment remarquable ce matin. Cela vous a fait mal, j’espère ? - Oui, mademoiselle. Je suis vraiment désolée... - Et bien voyons si je serais aussi experte que madame de Hautefutaie ; elle m’a demandée de ne pas vous ménager. On frappa à la porte. C’était Julia qui dit : - Madame avec sa générosité coutumière fait demander à mademoiselle si elle a besoin d’un martinet pour corriger mademoiselle Virginie. - Merci ma chère Julia, mais mes mains sont solides et j’adore le contact direct avec ce joli popotin. Relèves toi Virginie. Tu n’as pas honte de te montrer dans cette tenue à ta bonne ? - Oh ! C’est une tenue que je connais bien, dit en souriant Julia. A t-elle été sage ces derniers temps votre élève, mademoiselle ? - Une vraie peste comme d’habitude, pourtant je ne ménage ni ma peine, ni les fessée. Rien n’y fait. Jugez vous-même. Je lui ai fait apprendre un joli poème que Mme de Hautefutaie a composé elle même ; et bien je suis sûre que cette paresseuse ne le sait pas encore. - Si mademoiselle, je le sais, mais j’ai honte de le dire. murmura en rougissant Virginie. - Comment Mademoiselle, un si joli poème, et qui vous va si bien. Votre belle-mère l’a écrit avec amour spécialement pour vous. Quelle ingrate ! fit l’institutrice à Julia. Allez Virginie récitez le à votre bonne je vous prie. Et mettez-y bien le ton, sans oublier de faire les gestes. Asseyez vous mademoiselle Julia, vous allez entendre, c’est très poétique, vous verrez. Virginie dût bien se résoudre à réciter la poésie demandée. Elle commença d’une voix timide. - " Ma fessée déculotté " De Sophie de Hautefutaie - Plus fort ma petite, dit Mlle Pinsec Virginie haussa le ton et dit son texte en s’appliquant et en faisant les gestes. - " Aujourd’hui j’ai méritée Une fessée déculottée Je remonte ma jupette Et dévoile mes gambettes Voyez donc comme je tremblote Découvrant m p’tite culotte Sagement, bien gentiment Je baisse le petit vêtement Et découvre sans manière Que j’ai honte mon derrière J’écarte légèrement mes cuisses Pour que ma culotte puisse S’arrêter que c’est coquin Sous mon joli popotin Ca y est je suis bien penchée Et j’attend sans plus broncher Puisque je l’ai méritée Ma fessée déculotté. " - Bravo Virginie dit en applaudissant Julia. Quelle jolie poésie. Je ne connaissais pas les talents cachées de Madame. Et vous la dites très bien. - C’est vrai reprit l’éducatrice pour une fois je dois en convenir. Mais ne faisons pas trop attendre votre derrière ma chère enfant, maintenant qu’il est bien présenté, régalons le. Mademoiselle Pinsec avança un tabouret à coté de Virginie courbée en avant, déculottée et prête pour sa fessée, fessée que ne lui ménagea pas son professeur. Les claques tombèrent sévèrement colorant le joufflu d’une couleur carmin qui remplit d’aise la spectatrice improvisée qu’était Julia. A l’issue de la punition la bonne emmena Virginie pour la préparer. La fête d’anniversaire n’allait guère tarder à commencer.
Quand Virginie arriva au salon, toutes les amies de sa belle-mère, ex danseuses ou entraîneuses des " Folies Coquines " étaient là. Elles crièrent "SURPRISE" en applaudissant alors que la jeune fille entrait. Madame de Montretout était là ! Et madame de Faissovant la plus proche de la porte. C’était une brune aux longs cheveux, avec de hautes pommettes saillantes de Slave et une très grande bouche. Une robe en lamé rouge qui s'arrêtait au tier de ses cuisses la moulait parfaitement. Sa croupe était si cambrée que le tissu de sa robe ne cessait de remonter d'une façon indécente et qu'elle tirait dessus en vain. La belle madame de Beautambourg, qu’elle n'avait pas vu depuis des semaines . On admira ses deux jambes musclées terminées par des escarpins bicolores, ses cuisses presque entièrement découvertes par une robe en soie blanche qu’elle remontait jusqu'à l'entrejambe. Elle avait un corps mince et musclé, une petite poitrine courageuse, les épaules très larges, des cheveux blond bouclés et un visage plutôt séduisant, en dépit d’un nez en trompette. Mais le bouquet, c’était Madame de Saint-Praipusse , la meilleure amie de sa belle-mère. Elle avait un léger accent et un cheveu sur la langue qui la faisait zozoter délicieusement. Mais tout en elle, l'opulente chevelure d'un noir de gaie, ses yeux a l'expression provocante qui lançaient des éclairs lubriques, la grosse bouche qui semblait gonflée à l'air comprimé et le chemisier collant, moulant des seins en obus, tout indiquait la sadique femme que le monde du bois de Boulogne connaissait bien.. Une énorme ceinture de cuir noir enrichie de pendeloques enserrait le haut d'une jupe en imitation panthère, moulante comme un gant, jusqu’à ses bottes de hussard rehaussées de brandebourgs en laiton ,tout sentait la luxure. La croupe orgueilleuse, même immobile, agressait le regard. Virginie avait espéré qu’on n’inviterait pas Madame de Saint-Praipusse , mais cette fois, tout le gratin était là, jusqu’à Madame de Bonnetaloche. Cheveux châtain, elle portait un chemisier en cachemire couleur ivoire qui n’arrivait pas à écraser une potine d’athlète et une jupe moulante marron. Un léger maquillage mettait en valeur ses yeux gris et sa bouche, sans le moindre rouge à lèvre, était épaisse, bien dessinée, respirant une sensualité saine. Ces dames riaient et madame de Saint-Praipusse couru embrasser la jeune fille. Dans la cuisine Julia et quelques-unes des bonnes des invitées avaient préparées le goûter. Elles entrèrent avec le gâteau et tout le monde chanta ' Joyeux Anniversaire ' à Virginie. Elle dût souffler toutes les bougies... qui ne s’éteignirent pas. On les ralluma. Virginie essaya encore une fois, avec un manque égal de succès. Le rouge monta à son front, elle regarda les invitées... nota seulement que Madame de Montretout riait bêtement .. Puis toutes les dames éclatèrent de rire!! - Ce sont de fausses bougies Virginie! lui dit Sophie . C’est une très vieille farce d'anniversaire que Madame de Montretout nous a suggéré. Julia a dû chercher longtemps avant de trouver ces drôles de bougies! Virginie n’avait jamais entendu parler d'une telle chose, mais dû convenir que c’était une très bonne plaisanterie, même si c’était à ses dépends ! Julia, artiste peintre à ses heures avait apporté le plus beau cadeau : Un portrait de Virginie, déguisée en sorcière! Mais, de dos, les fesses à l’air, son manche à balais entre les cuisses, - Cela te plais, mon cœur ? demanda Sophie vicieusement. A la surprise de Virginie, Madame de Saint-Praipusse minauda avec Madame de Faissovans .
Elle fut même surprise quand en passant les petits fours elle les entendit parler. - C’est vraiment étrange, Madame de Saint-Praipusse. que toutes les deux connaissions Virginie, alors…. A nous le plaisir de fesser… * * * Bientôt vint le temps des amusements et des jeux. Sophie accrocha le portrait de Virginie au mur. Virginie eut honte en le regardant. C’était un tableau qu’avait fait Julia , après une bonne fessée, et qui montrait la jeune fille, de dos, mains sur sa tête, au coin, penchée en avant, ses fesses bien écartées et cramoisies à l’air, et le regard tournée vers l’assistance. Virginie rougit, apercevant son petit trou-trou bien visible au centre de son joli derrière. - Jouons chères amies, proposa Mme de Hautefutaie. Julia va vous distribuer des sarbacanes et des fléchettes en papier gommé, celles qui atteindront la cible, c’est à dire le trou-trou de notre chère Virginie auront le droit de la fesser. N’est-ce pas amusant ? Essayes la première Virginie. Virginie dut essayer en premier . Julia lui tendit une sarbacane, une fléchette, et elle du souffler sur son propre derrière, qu’elle manqua de beaucoup... Chacune des invitées essaya à son tour d’atteindre le trou-trou du portrait de Virginie, et toute riaient beaucoup , bêtement . Madame de Faissovans essaya la seconde. Sa tentative se termina sur la tête de Virginie, un essaie de Madame de Saint-Praipusse n’eu guère plus de succès . Madame de Montretout eut plus de chance, elle pris son souffle, se concentra et sa fléchette atteignit le sommet de la raie des fesses... C'était un supplice plus qu'un jeu. Touts ces dames ne pensant qu’à donner une fessée à Virginie. Qui commencerait à appliquer la première fessée sur son derrière nu ? Avec quel outil ? Combien de coups ? Est-ce que la gagnante aurait le droit de donner plus de coups à Virginie que les maladroites ? Chaque invitée eut sa chance . Madame de Mont-Taupaphe et Madame de Claquerey , en temps que membre du club des fesseuses avaient chacune deux chances . Et si elles gagnait, elles commenceraient à appliquer des coups triples au derrière nu de Virginie. Madame de Saint-Praipusse et Madame de Faissovans avaient elles trois essais de sarbacane pour atteindre le derrière de Virginie, faveur spéciale accordé par Mme de Hautefutaie. Après deux essais, Madame de Faissovans atteint le centre de la cible, le joli trou-trou ombré du portrait de Virginie, sous les applaudissement de toutes ces dames.. La récompense étant de donner sa fessée d’anniversaire à Virginie, on fit les comptes, puis les " fesses-tivitées " purent commencer. Chaque dame à leur tour s'asssirait sur le divan alors que Virginie se présenterait en travers de leurs genoux, ainsi chaque invitée pourrait donner dix bonnes claques sur le joli popotin qu’on leur présenterait. Madame de Bompenpant avait sautée sur le divan pour être la première, et Virginie détesta la pensée de s'allonger sur les genoux de sa pire ennemie, mais elle n’avait pas le choix. Heureusement, Madame de Bompenpant était trop sotte pour donner une fessée efficace, mais deux claques atterrirent droit sur les fesses de Virginie qui la firent sursauter à travers sa jupe ! Les dix fessées furent appliquées. Puis ce fut le tour de Mme de Beautambourg, son expérience était redoutable. Sa fessée fut plus douloureuse, et bientôt Virginie remuait son adorable popotin pour le plus grand plaisir des invitées. Sophie doucement retroussa la robe bleue de Virginie afin que les suivantes puissent fesser sur la culotte de coton blanc.
Mme de Bellemin était volontaire; elle commença à donner deux fessées d’anniversaire à Virginie, une sur sa culotte,! Virginie jappa lorsque la paume de la dame claqua sur le coton mince qui protégeait le gentil derrière ;une déculottée, elle remis les chose en place . Les dix bonne fessées avaient fait leur effet. Madame du Boisdoré fut la suivante pour fesser la douce jeunes fille, elle fessa sur la robe. Sa fessée ne fut pas trop douloureuse. Puis ce fut Madame de Vertugadin qui fessa Virginie plutôt facétieusement. Madame de Saint-Praipusse continua le jeu avec dix vrais claques, plus une en prime comme voisine. Maintenant les fessées brûlaient et faisaient mal à la gentille Virginie! Après, ce fut le tour de Madame de Montretout. Virginie rougit quand on l’installa sur les genoux de la mère de sa meilleure amie. Madame de Montretout fessa magistralement " son gros bébé " en riant aux éclats , pour répondre à l’invitation de Sophie . Cependant sa fessée étaient plus un jeux qu’une punition. Il était temps de retrousser la robe pour la prochaine dose. Ce que fit avec joie la cruelle Julia, Madame de Autevolay put à son tour fesser déculottée, pour son plus grand plaisir. Quelques claques piquèrent un peu plus, mais elles étaient encore assez bénignes. Estelle de Bonetaloche eut également sa chance de fesser Virginie. - Dix fessées et une de plus pour le plaisir dit Mme de Hautefutaie. Puis Virginie fut mise sur les genoux de Madame de Rosière, et reçut dix des fessées les plus sévères de l’après-midi. Madame de Rosière avait la main dure! Quand Virginie fut posée sur les genoux de Madame des Roches, elle pleurnichait. Les fessées avaient eu leur effets cumulatifs inévitable. Madame des Roches, avait un vrai talent de fesseuse, sous l’impact de sa paume le derrière reprit encore des couleurs framboise. - Dix, plus une pour le plaisir fit Mme de Hautefutaie. Gloria Talbeau n’eut pas plus de pitié que les autres pour les fesses de Virginies et les dix caresses d'amour savamment appliquées déculottée rougirent un peu plus le joli derrière ... La jeune madame de Bonpanpent semblait comme embarrassée de fesser publiquement ; mais elle réussit à donner deux bonnes claques sur le joli joufflu de Virginie... Madame de Claqurey la timide, minauda mais ses coups firent japper et pleurer Virginie sans difficulté. La suivante, Madame de Mont-Taupaphe , la cousine de Mme de Hautefutaie, appliqua dix fessées sur la jupe de Virginie, que Mme de Claquerey avait rebaissé mais Sophie releva le vétement. Madame de Mont-Taupaphe refessa cul nu, pour le plus grand plaisir de l’assistance. Virginie sanglotait quand Madame de Saint-Praipusse pris sa place avec une confiance tranquille ; dans sa main, elle tenait un solide fessoir.
La pauvrette sanglota en prenant place sur ses genoux. Elle se souleva comme l’élégante dame retroussa sa robe et la replia sur son dos soigneusement. Et elle ne broncha pas quand Madame de Faissovans doucement baissa sa culotte sur ses genoux, révélant le derrière chaud, douloureux et rouge de Virginie pelucheux à la couronne de chaque hémisphère . Sophie prit les mains de Virginie pour les tenir hors du chemin , pendant que Madame de Faissovant tenait ses pieds. Madame de Saint-Praipusse caressa le derrière nu de Virginie avec la main, puis elle se mit en besogne... Virginie pleurnichait à la quatrième fessée. Néanmoins elle en reçu dix bonnes . - Plus une pour le plaisir demanda Madame de Hautefutaie. Et après une pause brève, la bonne amie de sa belle mère souleva son bras, et appliqua une seconde fessée d'anniversaire sur le gentil derrière de Virginie. Et une autre. Virginie braillait et pleurnichait quand sa fête d’anniversaire fut terminée. Elle dû boitiller jusqu’à la porte, le dos de sa robe épinglé, sa culotte autour des genoux. Elle dû embrasser la main de chaque invitée et les remercier de leur présence et de leur active participation . Virginie remuait et se tortillait sur sa chaise pendant le dîner. Son derrière la blessait!! Malheureusement la fête n’était pas finie . Julia avait reçu l’ordre de s’occuper d’elle, et de ses fesses... Après le repas, vînt l’heure du bain de Virginie. Julia emmena la jeune fille doucement par la main. La baignoire était remplie d’eau chaude .Julia en riant déshabilla son petit diablotin. Un lavage consciencieux et un shampoing puis Julia l'aida à sortir , l’installa sur ses genoux en s’asseyant sur le rebord de la baignoire. Vlan ! fit la paume de Julia comme elle fessait le joli derrière mouillé de Virginie "Ouille!" pleurnicha la destinataire . Elle avait oubliée combien une fessée sur un derrière mouillé brûlait. Pan!! des gouttelettes d'eau volèrent quand la main de Julia claqua la fesse gauche avec une force égale!! Virginie pleurnicha, son derrière prenant feu!! - Arrêtez , ma bonne, s’il vous plait!!" En fessant Julia lui dit : - Maintenant, Virginie!" ! !Vous savez ce que c’est ! !Quand je donne une fessée ! Vous avez été ! ! une méchante ! !jeune ! !fille !! Et vous avez besoin ! !d’une bonne fessée ! !sur votre derrière ! ! tout rouge ! ! tout mouillé ! ! et tout nu ! ! pan ! pan ! pan pan ! ! Virginie pleurnichait alors que Julia fessait toujours. A aucun anniversaire elle n’avait été fessée à ce point! Finalement Julia se calma et Virginie sécha ses larmes, son derrière était déjà sec, et la bonne l’accompagna jusqu'à sa chambre. Son calvaire n’était pas terminé. Virginie avait déjà enduré une fessée à la main sur son fessier qui lui avait fait venir des ampoules, après l’avoir laissé pleurer dans un coin pendant quelques temps, elle se retrouva face à sa bonne qui tenait la brosse à cheveux . Elle s’approcha du lit où Julia s'etait assise. Elle rechignat quand la brosse à cheveux tira sur à ses tresses emmêlées. Puis Virginie fut retournée sur les genoux de sa bonne pour une dernière fessée . Pan ! ! La lourde brosse explosa contre les fesses de la jeune fille. Pan ! la brosse claqua encore. Virginie grognait déjà quand huit bonnes fessées furent appliqué avec soin sur sa chemise de nuit de coton . La bonne remonta avec soin la longue chemise de nuit pour mettre à nu son gentil derrière . Il est vrai que c'était un jour spécial de punition; les limites habituelles ne furent pas appliquées.
Virginie savait ce qui l’attendait. Comme elle le redoutait. Julia tourna la brosse à cheveux , et recommença à fesser. Les soies étaient encore plus douloureuses que le bois. L'impact réel était adouci légèrement, mais c'était plus piquant, plus brûlant, ces soies raides. Virginie pleurnichait, Julia n’en eu cure. Elle mis la brosse à cheveux de côté et se saisit du martinet … et après une dernière bonne fessée, tout le monde se coucha en attendant des jours meilleurs….
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